[Fiche de personnage] Zéphyr valdonis

₪₪₪₪₪₪₪₪₪ FICHE DE PERSONNAGE ₪₪₪₪₪₪₪₪₪
Nom : Zéphyr

Prénom : Valdonis

Pseudo Minecraft : valdonis

Age de votre personnage : 21 ans

Sexe : Masculin

Votre classe : Auxiliaire

Votre métier : pour le moment rien, mais essaye de retrouver ses aptitudes au combat afin de devenir garde

Origine : Je faisais partie du "Monde qui Fut", je vivais à Rome, seul, et je suis arrivé sur Aeterna après ma mort.

Votre histoire : Mon ancienne vie me parait si lointaine… Mais je me souviens de toute ma vie… J’imagine que Némésis a choisi de me laisser ma mémoire pour ne pas oublier mon rôle sur cette terre. Mais laissez-moi vous conter mon histoire. Déjà mon caractère râleur, qui souvent me causait du tort auprès de mes amis. Mon côté trop perfectionniste, à toujours vouloir en faire trop énervait aussi beaucoup, et enfin, mon stress qui n’était jamais approprié aux situations. Tout cela a fait que j’ai passé une grande partie de ma vie seul. C’est à ce moment là que je me suis entrainé au combat. En particulier, comme assassin, puisque je me disais que je serai alors plus rapide et efficace que n’importe quel autre garde. J’ai alors consacré 5 ans de ma vie à m’entrainer sans relâche, afin de pouvoir être prêt à défendre mon peuple.

Mais seulement, lorsque je m’apprêtais enfin à rentrer dans la garde, j’ai croisé une jeune femme, Ellea Caster. Elle passait tous les jours devant chez moi, et faisait mine de ramasser des fleurs ou toute autre activité inutile afin de m’observer bizarrement. Un soir, j’ai modifié mon entrainement pour finir plus tôt et la surprendre. Ça a marché, et nous avons pu parler. Elle était d’une beauté infinie, d’une sagesse sans égard, et d’une bonté à faire pâlir les dieux. Toutes ces qualités qui lui étaient attribuées, j’estimais que je ne les méritais pas. Alors je me suis entraîné encore, afin de pouvoir un jour lui demander sa main.

Seulement, un soir, j’apprends qu’elle est prise en otage par des ravisseurs. Je me mets alors à sa recherche, tout en commençant par interroger les personnes de son entourage. Personne ne savait où elle avait bien pu aller. J’ai alors promis de la retrouver, au détriment de tout mon entrainement, de tout ce dont à quoi je tenais auparavant. Je l’aimais et ne voulais pas qu’il lui arrive malheur. J’ai commencé à stresser, mais l’amour que j’avais surmontait mon stress de louper, et je me suis empressé de demander aux marchands de la ville s’ils ne savaient pas où elle était. Alors, j’ai remarqué par terre, à la devanture d’un magasin fermé, des traces de pas profondes dans le sol, comme si un combat avait eu lieu. Je vis aussi dans un coin, un bout de tunique bleue… Sa préférée… Je me rue alors dans la direction que les traces indiquaient, avec une vitesse dont je ne me pensais même pas capable. Les traces étaient déjà vieilles, mais je parvenais à les suivre tout en courant, tellement mon amour décuplait mes forces. Les traces devenaient de plus en plus fraîches de jour en jour. Je mangeais du gibier que je trouvais sur le passage, voire ne me nourrissait pas. Mes nuits duraient entre 3 et 4 heures mis peu m’importait désormais, je devais honorer ma promesse et délivrer celle que j’aimais.

Le cinquième matin, les traces se terminaient en flanc de montagne, dans laquelle une grande grotte s’enfonçait. Je me dis alors que les ravisseurs étaient surement dans la grotte. J’y pénètre, et le peu de lumière m’oblige à plisser les yeux, puis au bout de quelque minutes, j’y vois assez clair pour avancer. Une lumière projetée sur les murs montrait des ombres d’hommes comme flottantes. Je m’en approche et les entends chanter en langue étrangère. Alors, je me rapproche et me jette sur eux, en étranglant un, et assommant l’autre. Elle était là, belle et ravissante, malgré les blessures que lui avaient infligé ses ravisseurs. Je la prends dans mes bras et la soulève de terre. Alors, je commence à prendre le chemin du retour, quand je me dis que si elle se réveillait, elle aurait besoin de nourriture consistante. Je la laisse donc là, et retourne au camp chercher des provisions que j’emballe avec une des tuniques des ravisseurs. Je les réassomme un bon coup pour être sûr, puis je repars.

En ressortant, je me réjouis à l’idée que je pourrais enfin lui annoncer que je l’aime et souhaite passer la fin de ma vie avec elle. Nous aurions des enfants, nous marierons, je ferais partie de la garde pour protéger ma patrie. Tout irait pour le mieux, mais en sortant, je ne vois personne. Mon stress prend alors le dessus, et je commence à paniquer. Je cherche de tous les côtés, et voit encore une ombre, mais qui porte quelque chose sur son épaule… Ou quelqu’un… Je me cache alors pour le prendre en embuscade, et attends. Il arrive à mon niveau et je lui fais peur. Il laisse tomber cette pauvre femme et dégaine son épée… Sauf que je suis plus entrainé que lui. Je suis déjà dans son dos. Je le blesse au bras avec lequel il tient son épée. Il la lâche pour se tenir le bras, puis je lui mets un coup de poing afin de l’assommer et d’avoir le temps de fuir avec ma dulcinée.

Je la prends dans mes bras, et remarque une tache rouge par terre. A l’endroit ou reposait sa tête. En la regardant, je remarque qu’elle saigne abondamment de la tête. Désespéré, je tente quand même de la ramener au village avant sa mort, et je lui bande la tête en attendant d’y arriver avec la tunique du soldat mort. Je laisse sur le chemin tout ce qui pourrait m’encombrer, dont la nourriture. Je vais plus vite que jamais. Le voyage que j’avais fait en 5 jours, je le refais en deux. En arrivant à la cité, je cours droit chez Monsieur Atles Edric, le healer de notre garde. Je lui donne ma bien aimée, mais son regard s’attriste, et il se tourne vers moi lentement, en m’annonçant la mauvaise nouvelle. Elle est morte, du choc qu’elle a reçu sur la tête, il y a un jour. Je comprends donc qu’en étant plus rapide encore, j’aurais pu la sauver, tout est ma faute. Rien qu’à vous en parler j’enrage, et l’émotion remonte. Alors, je vais voir sa famille pour leur annoncer la nouvelle. Tous pleurent et me remercient de l’avoir ramenée avec moi, tout en disant que j’étais quelqu’un de bon et d’héroïque. Mais je ne pensais pas comme eux, je ne suis qu’un bon à rien qui n’a pas pu sauver la femme qu’il aimait.

Puis, le bruit c’est répandu, et toute la ville est désormais au courant de mon histoire. Alors, le chef de la garde viens me rencontrer pour me féliciter de mes actes et me demander de rejoindre la garde. J’hésite alors, d’un côté c’est mon rêve depuis que je suis gamin, de pouvoir porter moi aussi un jour leur uniforme, mais d’un autre, je ne me sentais pas prêt à sauver les gens, sachant que je ne pouvais même pas sauver une femme. Alors, s’ensuivit quelques heures pendant lesquelles il a essayé de me faire entendre raison. C’est alors qu’il m’a dit quelque chose que je n’oublierai jamais : « Et n’oublie jamais, c’est toi qui dois choisir de ton avenir. Personne n’a le droit de te dicter ta conduite, n’importe quel garde n’aurait pas fait mieux que toi dans cette situation. Mais pense bien à faire dans la vie ce qui te semble juste. ».

Et ce qui me semblait juste, était de rejoindre cette garde qui m’était si chère, afin que personne d’autres n’aie à souffrir de la méchanceté d’autrui. Je ferai tout ce qui est en mon possible pour aider les gens en détresse, afin qu’ils n’aient pas une histoire comme moi. Et celle qui restera à jamais gravée dans mon esprit, m’aidera tout au long de ma longue route, afin de ne pas faillir à ma tâche. Depuis ce jour, j’ai de nouveau des amis, j’ai un métier, celui dont je rêvais, et une histoire à raconter.

Mais tout plaisir ne peut pas durer indéfiniment. Quatre ans plus tard, la ville est assaillie. Je reconnais les mêmes tuniques des agresseurs que ceux de celle qui m’était promise. Alors, un flot de rage et de vengeance s’empare de moi et je me jette dans un combat effréné contre ses monstres. Mais je ne faisais pas le poids. Je réussis à en éliminer deux, mais le troisième me donne un coup à la jambe, puis au bras. Malgré mon entraînement et ma rage, les ennemis étaient en surnombre, et très forts aussi. Je n’abandonne pas, mais mon corps refuse tout mouvement, et je sens l’acier froid de l’épée de mon adversaire s’enfoncer dans mon torse.
Là, je ne me souviens plus de rien, si ce n’est une sorte de voix qui me dit : « ton rôle n’est pas fini sur cette terre » et je me suis retrouvé en plein milieu de cette ville, Aeterna, et dès que j’ai posé mon pied sur le sol, je ne me suis jamais senti aussi vivant et déterminé à continuer ce que j’avais commencé, en l’honneur de Ellea.

Votre objectif personnel : Mon but est désormais, que le monde soit égal, qu’un homme ne puisse pas prendre la supériorité d’un autre par la force ou d’autres moyens illégaux, que certaines personnes se croient supérieur aux autres, je ferai en sorte que tout le monde soit satisfait et se sente d’égal à égal avec les autres. Et je ferais tout ce qui est imaginable afin que règne la justice, peu importe le moyen utilisé.

Votre dieu totem :Mon dieu totem est némésis, celle répartit équitablement, distribue ce qui est dû. La déesse qui peut désigner la colère ou la vengeance divine. Je sais que c’est elle qui m’a renvoyé sur terre afin de continuer mes objectifs. Ma deuxième déesse totem est Furies, déesse de la vengeance, envers ce qui m’ont fait souffrir. Pour le moment, je prie Némésis.